Bonjour Pascal,
je suis heureux de voir que tu as toujours ta forme olympique, bravo !
Ce commentaire juste pour te signaler, sauf erreur de ma part une coquille sur cette légende :
« Le Barle, La descente peut se faire en traversant à la base des rochers, pour rejoindre la crête descendant au col de la Coupa. »
je suis sûr que tu as voulu écrire « Col de Barle » ! non ?
Bonne continuation, amitiés.
Alain
Bonjour
Rando faite le 11/09/23 . Superbe ! Les 2 vallons sont magiques et sauvages, comme je les aime … La vue au sommet juste superbe. et croisé …personne ! Grace à cette trace, pas besoin ( je pense) de faire la rando classique des Lacs du Marinet par le vallon de Mary .. Merci beaucoup pour vos très belles propositions qui m’inspirent beaucoup ! !
Une rando exceptionnelle ! Surement la plus palpitante du Champsaur, ou l’on croise tous les terrains de jeu (hors sentier, vire, petite escalade, crete) et des paysages à couper le souffle (arche, cirque).
Merci pour cette itinéraire !
En préparant ma sortie au Grès du Queyrel, j’ai découvert votre blog. Je ne fréquente pas les « Réseaux Sociaux ». La montagne n’est pas un stade ou une salle de gym où l’on vient transpirer pour réaliser un exploit qui permettra de se faire valoir. Votre topo témoigne de votre pratique de la montagne. En ayant intégré les outils d’aujourd’hui, il reste dans le partage et le faire savoir. Ne changez rien. Résistez.
Bonjour Pascal, avec un ami nous avons parcouru cette belle crête récemment en poussant jusqu’à la Pointe de Rasis et en partant du Sommet Bucher. Merci pour l’idée et les explications !
Je publie régulièrement des topos sur Altituderando et je compte en faire un sur notre sortie. Je tenais à vous informer et je vous mettrai bien sûr aux crédits.
Bravo en tous cas pour ce blog et pour les superbes photos !
Merci pour vos photos et textes sur le tour des Combins. Très utile pour nos préparatifs.
Pouvez-vous partager le contenu de votre sac à dos sur vos randonnées?
Merci
Merci pour ce beau reportage! ..j’ai fait cette « ascension » en 1979, mais n’en avais rapporté que quelques photos, perdues au milieu d’une boîte à souvenirs.. Voici d’un seul coup ces vieux souvenirs bien remontés à la surface!
Bonjour, superbe randonnée et explications claires !
Savez vous cependant si la bergerie de Chillol permet de s’y refugier en cas d’orage ?
Nous comptons bivouaquer pas loin mais je préfere toujours avoir un coin de « secours » 🙂
L’abri de Chillol situé vers 2200 m d’altitude peut effectivement servir d’abri en cas d’orage, il n’y a rien à l’intérieur, ce n’est qu’un abri en pierre.
La cabane de berger situé vers 2460 m d’altitude est normalement utilisé par le berger en été, elle devrait restée ouverte le reste de l’année, mais je ne pourrais vous le garantir. Peut être vous pouvez essayer de vous renseigner auprès de St-Paul-sur-Ubaye ?
Bonjour, merci pour ce topo qui donne envie. Juste une question: dans le bastion sommital, il faut rejoindre une faille assez exposée parait il: Quand pensez vous?
Merci pour tous vos topos qui sont très bien décrits et très proche de la réalité du terrain (notamment le sommet d’assan,le pic nord de la font sancte et le pic de panestrel).
A partir du pied du grand couloir qui monte à la Font Sancte Nord on bifurque à droite vers le Sud en empruntant une sente assez bien marquée jusqu’au col coté 3078 m. A partir de ce col on suit une sente coté Ouest, en léger contre bas de la crête, qui nous amène jusqu’à une brèche bien marquée à l’Ouest du sommet. C’est là que les difficultés commencent. Derrière cette brèche on trouve un couloir assez raide en mauvais rocher. soit il faut descendre avec prudence une vingtaines de mètres pour rejoindre le fond du couloir que l’on remonte dans un terrain croulant presque jusqu’en haut, pour ensuite emprunter une légère vire ascendante vers la gauche. (soit traverser à niveau depuis la brèche dans les rochers pour rejoindre ensuite le fond du couloir plus haut – attention cela peut être glissant, délité et exposé même si l’escalade y est facile).
On rejoint après la vire ascendante à gauche un terrain plus facile qui nous permet d’atteindre le bastion sommital que l’on gravit sur la gauche pour atteindre le sommet. (petits pas d’escalade II+ en dalle).
Casque conseillé, éventuellement un bout de corde de randonnée, mais attention pas beaucoup de bon point d’ancrage pour un assurage efficace.
La partie finale après la brèche est à faire avec prudence et demande un pied sur.
En espérant que ces précisions puissent vous être utiles.
merci pour ce descriptif qui m’a donné envie de partir sur ces deux sommets
Très bonne description du parcours et les photos, en plus d’être belles, sont utiles pour la randonnée
Encore merci
Bonjour,
J’ai eu quelques soucis à partir du point 2089. Impossible de trouver un passage ou un semblant de sente ; j’ai dû faite demi tour.
Pourriez vous me donner quelques informations. Je n’ai pas trouvé non plus la sente dessinée sur la carte et qui se point sous 2089 gagne le point 2263.
Sincères salutations.
Xavier
Le mot sente désigne un sentier peu marqué qui peut effectivement être difficile à trouver surtout à une époque où la végétation est haute. De plus le temps peut atténuer le tracé si celui ci n’est pas très parcouru. Désolé que vous n’ayez pas trouver cette sente qui existait bien quand nous avions effectué cette itinéraire en 2016. Peut être la retrouverez vous tôt le printemps ou vers la fin de l’automne une prochaine fois.
Merci pour toutes ces informations, voici ma vidéo sur cette ascension : https://youtu.be/50hj_46P834
Je me suis permis de mettre en description le lien de votre site et de vos explications 😉
Cordialement
Merci pour votre réponse. Oui je comprends ce que vous voulez dire à propos de ces cairns insolites que je n’ai d’ailleurs pas vus. Autrement dit, vous m’apprenez que c’est la municipalité qui a permis à celui-ci de faire ou de montrer ses « créations » non loin d’un site naturel? Sauf le respect pour le travail de ce monsieur qu’il ne m’appartient pas de juger. Encore bravo pour votre site.
Vos photos sont très belles, comme le coin que je fréquente assidûment et que je connais bien. C’est une région sauvage, belle justement pour ça et pour le sentiment de liberté et de solitude qu’on peut y éprouver. Hélas, depuis un certain temps je découvre de désagréables surprises. Passe encore le col de Longet jonché de cairns qui par temps de brouillard , ressemble à un sinistre cimetière; on commence à voir de ci, de là, les stigmates de personnes qui ont besoin de marquer un territoire. On trouve ainsi des sculptures tribales parfois en haut de certains sommets, des graffitis à la bombe le long des rochers de certains GR, des gens stupides qui avec des pierres forment au sol leur prénom. Ouais, super ! Alors vous nous parlez de cairns particuliers et cela semble vous enthousiasmer et bien permettez-moi de vous dire que si vous aimez ce coin et que sa beauté vous a ému, c’est justement parce que l’impact humain y est très réduit. Faire la promotion de ce genre de « Land art » c’est comme cela qu’on appelle ce genre de choses n’est ce pas? Et bien ce n’est pas rendre service à la montagne. J’espère que vous comprendrez mon point de vue. Bonnes balades.
Je pense que vous confondez la description des cairns insolites dans la vallée du Cristillan le long de la route, avec ceux de votre description que je ne cautionne pas. La municipalité et l’artiste auteur de ceux que je décris apprécieront certainement votre commentaire.
Une autre alternative pour monter au Vieux-Chaillol c’est de partir de la vallée de Champoléon. Laisser la voiture au village des Borels et monter en direction du chalet des Tourrons puis en direction du col de Côte Longue où on rejoint le sentier de ceux qui arrivent du col de la Pisse et qui sont partie de la station de St Michel de Chaillol. Cette montée est un peu plus longue, mais plus sauvage et moins fréquentée.
bonjour Pacou
j’ai bien aimer lire votre parcourt en boucle du pic de rochelaire,tête de vautisse
aujourdhui j’ai fait une boucle depuis le vallon du couleau et je me posait la question si il y avait un passage à pied du vallon du couleau puis de poursuivre derrière le pic de rochelaire
Je n’oserai pas passer comme vous sur les crêtes entre le pic de rochelaire à la tête de vautisse cela doit être vertigineux la montée pour rejoindre le col de rochelaire n’est elle pas trop exposée au vide ?
bien cordialement
suite : pour varier les plaisirs au retour vers Moussière , revenir en arrière vers la cabane ste Marie , mais couper à D sous le sommet 2601 ,pour rejoindre le sentier du col de moussière et rejoindre le parking de Moussière , à la bifurcation avec la route du lac du Lauzet
bonjour
nous avons fait avant-hier , le 9/10/21 , une variante de cette rando des crêtes de crousas ; venant de Moussière , nous sommes montés à l’aplomb du collet qui juxte le sommet 2601 – croix des crousas , puis nous avons traversés vers le sommet central par la crête et rejoints le col des terres jaunes . mais au lieu de prendre la vire pour accéder au sommet 2645 , nous avons remontés le goulet adjacent à cette vire , et débouchés en haut D sur la pente herbeuse qui conduit au sommet ; il y a un passage d’escalade finale D à la fin de goulet – II sup , III …Mais il est beaucoup moins exposé que cette vire ; retour par même passage final , mais redescente par la dorsale sous le sommet central ; exceptionnelle rando dont la traversée entre le sommet 2601 et le sommet central nécessite des pas d’escalade I à II
Salutations
Bonjour, combien de temps faut-il pour atteindre le pic de caramantran en passant par le col de saint veran depuis Saint veran ?
Et du pic au col de Chamoussière ?
Merci davance
Un immense MERCI, pour cette source d’inspiration intarissable. Et par ailleurs, les photos sont juste sublimes. Continuez ainsi, marchez dans vos « pas » est toujours source d’émerveillements.
Merci beaucoup pour ce topo, il donne juste les informations essentielles pour réussir le parcours. Comme vous l’indiquez, il faut bien rester sur la crête en descendant vers le col de Reyna (et ne pas s’aventurer dans l’éboulis).
Grand merci pour ce partage d’informations qui nous a permis de découvrir une telle randonnée hors des sentiers battus ! Circuit version 1 testé en ce mois d’août, itinéraire varié et magnifique, avec le plaisir rare (un peu égoïste) d’avoir deux lacs d’altitude pour nous seuls. Etonnant tout de même qu’aucun sentier d’accès n’ait été tracé, notamment dans le Vallon du Lauzet (où le terrain est plus facile que dans celui de la Casse de Rabaret)…
Bonjour,
auriez-vous la gentillesse de me faire parvenir la trace gpx de la promenade au-dessus de St.Sauveur (05)
Vous remerciant par avance.
Bonnes randonnées.
Merci pour tout ! Petit détail pour la partie voiture pour les non locaux , chemin faisant 10km en laissant les ribes sur non carrossé , entre k2 et k6 le chemin est plutôt accidenté et prévoir de rouler au pas …mais ne pas craquer car ce temps gagné en voiture est précieux ensuite ..(+ 3h AR de marche d approche) .
Super merci je cherchai à savoir si c’est fréquentable !
Impressionnant de voir qu’a coté du GR54 super frequenté il y a ce genre de sommet sans quasi topo !
Bonjour Pacou, j envisage de faire cette rando j ai vu que l on peut récupérer le tracé gpx il y a un petit détail que je veux vous demander sur le tracé gpx nous n arrivons pas au point de départ, où nous aurons laissé la voiture, est ce que cela représente bcp de km ?
Merci
Si on peut on ira faire le pic Queyrel
Merci
Effectivement très belles photos, et merci pour les informations concernant cette rando que j’ai pu réalisée cette année. J’ai trouvé pas facile quand même.
Je suis monté il y a quelques jours à la Condamine par les cols de la Tracoulette et de Vallouise, mais n’ai pas pu faire la boucle par la Crête de Coste Groselière car il y avait encore trop de neige sur ce versant.
Pourriez-vous, je vous prie, me faire parvenir le fichier gpx pour cette Rando que je compte bien faire prochainement.
Bonjour
Merci beaucoup pour vos photos et vos explications claires et concises.
Concernant le pic Jocelme, l’avez vous fait encordé ou pas ? je pose la question par rapport aux crevasses car vous mentionnez que le corde peut être nécessaire…
D’avance merci
Le glacier de Surette et de Jocelme sont très peu crevassés, maintenant cela reste des glaciers et suivant les conditions une corde sera effectivement utile. Sans même parler des crevasses la pente au-dessus du glacier de Surette peut être un peu délicate à passer si les conditions de neige ne sont pas bonnes.
Randonnée faite le 31 mars 2021. Panorama à 360° somptueux au sommet et randonnée suffisamment bien décrite dans le topo. Nous n’avons rencontré aucune difficulté particulière dans l’itinéraire hormis une coupe de bois et quelques troncs à enjamber quand on pénètre dans le bois au-delà du grand pré.
Au départ du col de Pontis, nous avons mis une heure pour arriver tranquillement au sommet, nous avons ensuite longé la crête comme décrit, et enchaîné avec le Morgonnet soit une petite heure de plus. Retour ensuite au col de Pontis en suivant l’itinéraire avec vue sur la vallée de l’Ubaye toujours aussi magnifique.
Merci infiniment à PACOU pour nous avoir permis de découvrir cette très belle randonnée, nous y retournons et nous ferons un plaisir d’y emmener des amis.
Salut Pascal,
Félicitations pour cet article et surtout tes photos sur notre intéressante virée sur cet emblématique duo qu’est le couple Montagnette – Lausa Plana, sur lesquelles tu n’as pas hésité à me mettre en scène dans le rôle titre, Merci !…
Si tu me le permets, pour que les fans de ton excellent blog n’aient pas de désagréable surprise, j’apporterai les deux petites précisions suivantes :
1 – la cote 2434 m est attribuée au sommet du Jasset, tandis que l’accès direct à sa Baisse 2392 m est un peu plus délicat et bien moins agréable que notre trace.
2 – le commentaire suivant en forme de recommandation :
“Arrivé dans la combe suspendue sous la montagnette (2608 – 2494 m) le plus simple sera de rejoindre à droite le grand éboulis sous le Pouzenc pour ensuite descendre vers le chemin de ceinture.”
me contrarie quelque peu et me laisse à penser que tu n’as jamais dû passer par là en été (Nord – Montagnette – Lausa Plana .jpg) , certes nous y sommes passés ensemble à 2 reprises, mais c’était en crampons ! et pour autant que je me souvienne, arrivés au Chemin de Ceinture en compagnie de Patrice le jour de notre traversée Nord-Sud du Pouzenc, vous n’aviez guère apprécié la descente de cet infâme pierrier. Alors, si certes il s’agit d’un itinéraire moins exposé que la voie directe recommandée par Bernard RANC dans son dernier ouvrage sur les plus belles randonnées de l’Ubaye et ses environs (ce qui au passage prouve qu’il n’a jamais mis les pieds sur son arête Sud-Ouest qui est pour moi la VN royale en A/R de la Montagnette) qui si elle peut être assez impressionnante à la descente, est de très loin l’accès le plus cool en A/R au balcon Nord qui à lui seul mérite une visite complète, car il est d’usage de considérer que les randonneurs qui se lancent dans une telle aventure sont aptes à affronter pareille pente (entre 30 et 45° au plus raide et sur peu de dénivelé).
Amitiés
Alain https://drive.google.com/file/d/1Uvb0kURtAg1Cqnkp9b5YJCA7FQynKQBr/view?usp=sharing
Merci Alain pour ton commentaire et il m’a amené à modifier quelque peu mon article pour être effectivement plus précis. J’ai d’ailleurs rajouté ton lien sur la photo descriptive au bas de cet article. Si tu regardes bien il y a même une phrase reprise de toi dans la description de la descente sous Lausa Plana pour rejoindre le grand couloir sous le Pouzenc.
Je réagis néanmoins sur ta capacité à penser et à dire que telle ou telle personne puisse avoir mis les pieds ou pas à tel endroit. Je respecte ton avis sur l’itinéraire de descente préconisé par Bernard RANC. Il me parait cependant important de signaler qu’un itinéraire moins exposé existe depuis la combe suspendue pour rejoindre le chemin de ceinture. Alors certes le pierrier n’est pas très agréable à descendre, mais techniquement c’est plus facile et je le sais pour y être passé trois fois dont deux fois, c’est vrai, en crampons avec toi à une époque où il y avait de la neige.
J’ai essayé de rejoindre le col des orres depuis le col de la pare, hier, je n’ai pas réussi à descendre la grande epervière, c’était un peu risqué. J’ai fais demi tour. Je reviendrai, c’est de toute beauté. Cdt
Bonjour,
Merci pour ce topo d’une randonnée de toute beauté, offrant des paysages variés de toute beauté, hors des sentiers battus et accessible à des randonneurs moyens.
Son exposition, son altitude moyenne et son dénivelé raisonnable en font une rando de début de saison idéale (d’autant que les alpages sont déserts, ce qui permet de voir les chamois nombreux sous la croix de Ratier).
Trois précisions à votre topo précis et exhaustif :
– 26 mai 2020 : Attention aux travaux de mise en place de la conduite forcée qui mène à la future centrale hydroélectrique située au dessus des Guions : la route menant aux Grangettes est fermée à la circulation en semaine, à partir du lieudit « ravin de Ruinas » (alt. 1470) : il faut donc faire le reste à pied jusqu’au départ de la randonnée;
– à partir de la cabane des Moulières, privilégier la trace indiquée dans le topo (orientation nord ouest au départ), plutôt que d’attaquer la montée directement au dessus de la cabane : à cet endroit la forêt est dense et les genévriers nombreux sur le premier tiers de la montée. Attention aux écorchures…
– « L’ascension » du pic de Grand Vallon peut sembler a priori ardue, lorsqu’on arrive au pied du pic. En réalité, elle se fait aisément malgré la pente : les appuis son bons et les cheminements possibles nombreux.
Un grand merci pour ces belles photos. Je suis montée une fois au Col de Combat que m’a fait découvrir mon compagnon.
À Paris, confinée seule, c’est un moment beau et de l’air qui circule grâce à vos photos.
Merci Pacou
Bonjour Pacou
J ai fait une reco hier afin d emmener un petit groupe
J aurai voulu savoir si l on pouvait éviter la desescalade du point 2671 vers le col de Chanteperdrix en passant par dessous côté ouest en venant de la crête de l’Arpion,car blocage a ce niveau afin de rejoindre la tête de Chanteperdrix.
Merci de ta réponse
Domenico
Bonjour,
De mémoire je pense que cela est possible mais il faudra descendre d’au moins 100 m de dénivelé, soit versant Ouest le long de la crête menant au Col de Trempa-Latz, soit versant Est. Les pentes après pour remonter au Col de Chante-Perdrix et ensuite sur la crête Sud Ouest de la Tête de Chante-Perdrix sont assez raides.
Environ 15 km. Je ne connais pas de refuge à proximité, il y a bien une cabane à l’extrémité Ouest du Ruban à Clot Clavary mais je ne sais pas si elle est utilisable.
Salut Pascal,
et MERCI pour l’honneur que tu me fais dans ta page d’accueil, tous ceux qui me connaissent savent depuis longtemps qu’outre l’immense plaisir d’évoluer à ma guise en toute liberté en montagne, ma principale passion réside dans la recherche de l’itinéraire qui me plaît le plus, si possible en suivant les crêtes, puisque c’est bien là que j’ai le meilleur point de vue et que je suis le plus à l’aise. Ensuite, de nature altruiste, je n’ai pas d’autre motivation que partager mes trouvailles avec d’autres, qui n’ont pas forcément le temps de chercher ou bien qui n’auraient même pas eu l’idée d’aller voir par là. Si avec Hélène, tout comme toi dans ton blog, nous dépensons autant d’énergie et de temps pour ensuite en garder un souvenir et bien au-delà, c’est surtout et avant tout pour permettre à d’autres de parcourir ces itinéraires que nous aimons tant, chacun étant bien évidemment libre de les adapter à sa convenance en restant bien conscient qu’il sera toujours le seul responsable d’où il aura mis les pieds.
Amitiés
Alain
Salut Pascal,
Bravo et merci pour cet excellent article sur cette fabuleuse randonnée sur les crêtes de « Côte » ou « Coste » Belle. Maintenant que nous savons que parcourir l’intégralité de la Crête de Coste Belle tel que nous l’avons fait ne pose pas le moindre problème aux randonneurs rodés à ce type d’exercice, je suggère à tous les fans de ton blog que ça intéressera de faire cette randonnée en sens inverse pour les raisons suivantes :
– c’est à mon sens la manière la plus esthétique,
les parties les plus raides sont toujours plus faciles à monter qu’à descendre tant qu’il ne s’agit pas d’un pierrier bien évidemment,
– ainsi on monte à l’ombre et on n’a jamais le soleil dans les yeux, situation assez gênante sur la crête Ouest du Pic Est qui ne facilite pas la progression et contrarie les croqueurs d’images,
– idem pour la vue sur la très spectaculaire Crête des Oules, ainsi que la face Est du Pic de Rochebrune.
Amitiés.
Alain
Vous faîtes vraiment de très belles photos et de très belles randos un peu alpines, j’adore. Bravo! Je m’inspire de vos sorties, j’adore la rando. Merci!
Bonjour ,
votre randonnée est assez inspirante et bien décrite avec de belles photos. Juste un petit détail quand vous écrivez « contourner par la droite ce sommet en descendant d’une cinquantaine de mètres et de traverser à niveau », 50m est-ce en distance ou en dénivelée ?
Merci, Franz
Bonjour est ce que les chemins en balcons sont suffisamment large pour une personne qui a le vertige…marcher près de la paroi aisaiment? D avance merci cette rando à l air superbe.. Catherine FAVRE
Bonjour J’ai lu votre topo du Pic de Crigne ; belle rando à faire ce que je vais réalisé . J’avais un doute pour la trace SUD côté L’ UBAC là ou vous êtes passés . Pouvez vous me dire si votre trace est celle d’un GPS car sur mon logiciel je ne vois pas de sentier. Si cela ne vous dérange pas.
Merci d’avance
Cordialement Roux André
Salut Pascal et bravo pour cet excellent reportage auquel je me permets d’ajouter la petite précision suivante, susceptible de faciliter la répétition de cette randonnée par les fans de ton blog.
En fait, dans la remontée par le Bois du Chapitre, entre la cote 1450 m et la cote 1509 m où le sentier du bas, pas mieux entretenu que celui du haut se rejoignent, il convient de rester encore plus attentif pour ne pas le perdre. Si malgré tout on le perd, lorsqu’on arrive sur la crête en rive gauche de la Combe de Lavanche, entre les cotes 1500 et 1520 m, il suffit de la remonter (c’est bien moins pentu à droite, qu’à gauche!!!) sur quelques m pour retrouver le bon sentier qui, dès lors, se suit très facilement, il est même très confortable dans sa traversée de la Combe de Lavanche, juste quelque peu herbeux à cause de sa très faible fréquentation.
Alain
Salut et merci pour tes récits de randonnée, tes photos sont super belles bravo . Tu as quoi comme matos ? car je fais également de la randonnée et cherche un équipement autre que mon gros reflex 🙂
Je décris mon matériel photo dans la rubrique présentation et conseils. Appareil reflex donc effectivement lourd et zoom polyvalent 24-120 à f4. Quelques fois je prend un 70-200 si je pense pouvoir apercevoir des animaux.
Les panoramiques sont fait par assemblage de plusieurs photos dans Autopano. Le changement d’optique n’étant pas évidente à faire rapidement si l’on veut pouvoir mettre un téléobjectif et prendre rapidement une photo de loin, le mieux est d’avoir 2 appareils mais la il faut de la place dans le sac et il faut porter.
Salut Pascal et merci pour ce très bel article sur la prestigieuse Montagne d’Aujour, les fans de ton blog seront peut être intéressés de savoir qu’un circuit plus court mais tout aussi sportif est praticable en versant Sud à partir de Villelongue. Il consiste à rejoindre le GR 94 par le sentier balisé qui remonte la Crête de toutes Aures, de quitter le GR 94 quand il sort de la limite Est de la Forêt Domaniale d’Aujour, pour remonter au mieux le long de cette limite (Nord-Est) jusque sous la falaise qu’il suffit alors de longer vers l’Est jusqu’ à la Faille, où on retrouve l’itinéraire décrit, et le suivre jusqu’au Pas de la Posterle qui se descend assez facilement rive droite moyennant une courte désescalade de quelques m en bon rocher (II maxi). Pour ensuite dévaler en ligne directe une pente boisée très raide au début mais pas aussi broussailleuse que ça (« seuls les sangliers passent par là ! » commentaire de Pascal Sombardier relayé par Bernard Mazas à qui j’avais demandé des renseignements sur la faisabilité de cet itinéraire que nous avons testé à 4 en novembre 2012, (groupe paritaire) ; plus bas, on rejoint une piste forestière qui revient sur Villelongue. A parcourir de préférence en automne avant que le versant Nord de la crête ne soit trop glissant, attention au risque de verglas et en période sèche afin que le Pas de la Posterle ne soit pas « une cascade ! ».
De plus, pour les non-initiés de l’itinéraire décrit, je conseille vivement les 2 mini-variantes
suivantes :
1 – après être sorti de la forêt, au-dessus du Lac de Peyssier, quitter le sentier balisé pour accéder à la première croupe herbeuse qui prolonge la falaise de droite ; la suivre en A/R vers le Nord-Est, elle devient rocheuse en s’effilant, offrant un passage très ludique, une belle vue plongeante sur le lac et vers l’Ouest, une belle perspective sur la ceinture rocheuse de la Montagne d’Aujour.
2 – revenu sur le sentier balisé, à l’arrivée sur la deuxième croupe herbeuse, s’écarter à nouveau du balisage sur la droite ; passé la bosse, on découvre un vaste plan en pente douce apparemment sans intérêt, pourtant il suffit de descendre de quelques m pour arriver sur un entrelacs de failles pouvant dépasser les 10 m de profondeur et rarement plus d’1 m de large, facilement franchissables jusqu’à la falaise terminale d’où l’on découvre un cirque rocheux particulièrement pittoresque, dont il me semble dommage de se priver, on se croirait au-dessus de la zone d’effondrement des séracs d’un glacier.
Très beau topo ,très belle photos d’un parcours que je connais et que j’aime beaucoup.
Il y a une curiosité juste sous le sommet 2836 c’est une grande faille étroite d’une dizaine de mètres et profonde d’environ 5-6 mètres.
Bravo Pascal, pour cet article et sa très belle illustration photographique, je me permets d’apporter une petite information complémentaire à ta précision : « Contourner par la droite, une tour rocheuse de forme carrée au milieu, » car si je suis bien passé comme toi à la montée, à la descente, j’ai testé l’autre côté et j’ai trouvé que c’était certes légèrement plus exposé, mais techniquement tout aussi facile, voire même plus facile ! Après, c’est à chacun de choisir ce qui lui paraîtra le plus aisé !…
Alain
Fait sans aucune importance, mais que je ne comprends pas bien : j’ai posté mon commentaire à 10 h 36 min et il est noter à 8 h 36 min, ton blog serait-il synchrone avec le soleil ?!…
Pour avoir, en plus de 30 ans, parcouru plusieurs fois ce fabuleux itinéraire, je confirme que son accès s’est considérablement amélioré au cours du temps, au point de pouvoir le classer parmi les bons sentiers de montagne, certes toujours sur une pente raide sous la Pointe des Marcelettes, mais toujours facile et sans danger. Probablement dû à son classement parmi « Les plus belles randonnées du Queyras de Richard WACONGNE, paru en 2000, au Éditions Glénat », par rapport à la diffusion plus ancienne et plus confidentielle de son prédécesseur : « 50 sommets sans corde dans les Hautes-Alpes de Pierre MAES, paru en 1998, Diffusion OPHRYS ». A ce sujet, il est à noter la divergence entre les 2 topos sur la localisation géographique du Sommet Jacquette et de la Pointe des Marcelettes . Pour moi, la Pointe des Marcelettes est bien le sommet le plus à l’Est avec ses 2909 m et Sommet Jacquette à l’Ouest, 2900 m, où se trouve la borne géodésique !…
J’ajoute au commentaire d’Hélène, que depuis la Haute Sagne, une sente, certes moins marquée, se poursuit dans le creux du vallon, passe au micro-lac et à la dépression coté 2601m et permet de rejoindre facilement le Col des Pisses, d’où l’accès au sommet de la Pointe des Pisses n’est qu’une simple formalité, puis la traversée du sommet de Prelles, ne présente qu’un petit passage rocheux, assez aérien où il convient de prendre quelques précautions dans la descente avant de rejoindre le Col de Prelles où on retrouve un relatif bon sentier pour redescendre jusqu’au Col du Cheval de Bois. Ce qui certes augmente sérieusement le niveau de cette randonnée, mais qui cependant reste facilement accessible aux randonneurs alpins, récemment baptisés d’experts pour plagier les Italiens ! Annie, dite la Marmotte, l’a bien réalisée en 2002 (en seulement 9 h, hors-tout, soit sieste comprise!), c’est dire !…
Quel dommage de s’être privé du classique circuit du Lac de Prelles, très beau miroir du Sirac, avec ses tritons alpestres; la montée en bordure du Torrent de Prelles se faisant sur une excellente sente équivalente à un bon sentier permet d’observer, au-dessus de la cascade, de beaux polis glaciaires parmi lesquels des marmites résultant de l’érosion des moulins glaciaires. Cette variante bien connue n’accroît pas la difficulté de cette randonnée et même en diminue la distance.
Si j’ai bonne mémoire, quand nous sommes arrivés à la petite clairière au niveau du (d) Défens (d)es Vieux, nous avions la vasque qui sert d’abreuvoir pour les vaches (qui, pour moi, est dans le creux du haut du ravin) à notre gauche et c’est à partir de là que nous avons commencé à revenir sur la droite pour rejoindre la crête.
Après être monté, assez facilement, à la Tête de Cassoun par son couloir Nord-Ouest, certes raide mais semi-herbeux ; pour en redescendre et poursuivre par la crête jusqu’à celle de Vallon Claous, lorsque j’ai vu la raideur de sa sortie et l’aspect plus que merdique de son couloir Sud, je me suis empressé de revenir vers le sommet pour emprunter la nervure de sa rive droite en y décrivant un Z ; j’y ai trouvé un rocher, qui m’a paru beaucoup plus sûr et surtout l’exposition y est bien moindre ! Cette variante me paraît être à conseiller, à la descente comme à la montée.
Bravo Pascal pour ce nouvel article et tes toujours belles photos !…
Dans le rôle du pinailleur invétéré, il ne m’a pas semblé que nous ayons traversé et monté rive droite du ravin du Défens des Vieux avant de retrouver le sentier presque horizontal du haut avec ses très vieilles balises jaunes !?…
En regardant plusieurs fois sur mon GPS pour vérifier où on passait, on a dépassé le V des Vieux sur la carte, et après avoir retrouvé le sentier, on a traversé un petit peu direction Nord pour arriver au niveau du é de Défens, où ensuite nous avons remonté la crête.
Pourriez vous prendre contact avec moi au 0609871321 car cet été avec mon fils on envisage un tour du champsaur par les crêtes et j’aurais quelques infos a vous demander sur des portions d’itinéraires que vous avez fait.
Cordialement olivier
Tres beau descriptif d’un endroit que je connais bien; je n’avais jamais essayé de monter au pic de maravoise ,j’y retourne cet été je ne le raterais pas
merci
Thierry
P-S J’ai deja escaladé le pic des chalanches (en traversée nord sud depuis le pic de l’aiguiller° ; le pic de roche noire le pic de la rousse (par le col de la rousse ) le pic du cros .le pic beauduis par le couloir nord et par le col des ayes .
Mais je butte sur le pic balard as tu une idée sur son accés le plus simple..
Bonsoir Pacou!
L’escalade du Col de Chorges pour aller aux Parias, est-t-elle difficile ou pas? Ce tour m’intéresse beaucoup et j’aimerais le faire l’été prochain, et c’est le seul endroit de la boucle qui m’inquiète…
Non ce n’est pas très difficile. Il y a 15 m a faire en (II) sur un terrain un peu herbeux un peu rocheux, mais il faut y aller avec précaution. Une corde pour assurer des personnes peu habituées, pourra être utile.
Bravo pour ce blog. Commentaires succins, mais précis, accompagnées de magnifiques photos. Manque peut être de randos un peu moins « bavantes ». De même tracés gpx seraient pas mal.
j’aimerais gravir ce sommet au mois d’ octobre ; sauriez-vous si il y a toujours la main courante au niveau du passage escarpé ? (si vous y êtes retourné récemment)
Nous avons réalisés cette randonnée l’année dernière au mois d’octobre. Si vous la faite par beau temps et sur terrain sec il n’y a pas de problème pour monter au Palastre, le sentier est bon et le passage escarpé se passe très bien.
Bonjour Pacou,
Mille bravos pour vos clichés ! Etant moi aussi adepte inconditionnel de la photographie en montagne, je me pose une question. Quel procédé mettez-vous en oeuvre pour obtenir de tels panoramas. J’utilise perso un objectif de longueur 10-20 mm sur un reflex APS-C. Je ne crois pas pouvoir obtenir des résultats similaires. Par ailleurs, je tiens à dire que votre rubrique randonnée Embrunnais est pour moi une mine de précieuses suggestions pour ma prochaine sortie en octobre. Je compte suivre un itinéraire depuis Serre-Eyrauds vers le Col de Combeau (avec ascension de la Petite Autane), et me diriger vers les aiguilles de Chabrières. Le coin en automne doit être splendide, vous m’approuvez certainement. Pour m’y rendre, j’hésite entre le Col de la Coupa ou bien le Col de Chorges (pour sa vue dégagée vers les sommets du coté du Parpaillon). Le GR 50 pour ensuite remonter vers Freissinière et la Vallouise est-il sympa? L’avez-vous déjà emprunté? Je connais déjà l’itinéraire direct par Prapic et le Col des Terres Blanches. Je me méfie aussi d’un subit revirement de météo à cette époque de l’année.
Voilà. Merci encore pour votre site que je vais à de nombreuses reprises consulter.
Bonnes escapades à vous dans ces formidables montagnes.
Un marcheur de la Haute-Loire, au pays des sucs.
Je ne sais pas quel va être votre hébergement pour l’organisation de vos étapes sur votre randonnée, mais il n’y a pas de problème pour le col Combeau et ensuite le col de Chorges ou de la Coupa (bons sentiers). Je ne trouve pas le GR50 très intéressant et un peu paummatoire (pas si bien balisé que cela) , si vous êtes plutôt montagnard il vaut, peut être, mieux passer plus directement, que de faire tout le tour en longeant la vallée de la Durance. Effectivement en octobre vous pouvez avoir des conditions météo très bonnes ou du froid et de la neige. Mais en règle générale on peut encore bien randonner, même à assez haute altitude à cette période. Pour les photos de paysage je travaille en Raw essentiellement avec un objectif de 24mm et les panoramiques sont réalisés par assemblage de plusieurs photos.
Bonjour,
Merci pour votre attention à mes recherches pour une randonnée dans ce coin du 05. Je considère que, en cette période de l’année, les hébergements sont loin d’être tous ouverts. Aussi, je m’astreints à partir en autonomie et je n’exclue pas des bivouacs avec une tente légère type MSR de 1-1,5 Kg. Bien évidemment, ce type de plans nécessite un portage conséquent (je n’ai pas besoin d’énumérer la liste à emporter – vous connaissez l’épineux problème du poids sur une randonnée de plusieurs jours). Hier au soir, après un tour d’horizon (fameux tour, je dois dire !!!) de vos sorties, j’en arrive à dégager une hypothèse pour rallier Freissinières. Je souhaiterais vous la soumettre à votre expertise (n’ayant pas vos connaissances pointues sur le secteur).
Je disais donc, lors de ma première intervention, que venant probablement par le Col de Chorges, je me dirigerai ensuite vers les Aiguilles de Chabrières. J’imagine alors une traversée qui me conduirait à passer par le Col de Reyssas, pour ensuite viser le Col des Tourettes et celui des Terres Blanches. De là, ne resterait plus qu’à descendre sur Dormillouse (par la grande cabane de Faravel). Quelques questions en vrac me viennent autour de ce projet :
1) Savez-vous si la cabane de Reyssas peut servir d’abri, hors période d’occupation par le berger? Je sais, pour l’avoir expérimenté, que la cabane de la Barre, au dessus du saut du Laire, dispose dans les combles d’un couchage tout ce qu’il y a de sommaire (mais c’est toujours mieux en cas de mauvais temps).
2) Dans votre topo sur le Pic de Pied Brun / Lac Brun, vous mentionnez une variante par Clot Bouffier. Esthétiquement, est-ce une ambiance plus belle? Je pense naturellement photo.
3) Enfin, un problème me taraude l’esprit. Une fois au Col de Reyssas, dois-je m’essayer à joindre le Lac de la Dent et de parcourir la crête de la Dent? Sur une de vos photos, je suis perplexe quant à devoir affronter la pente pour sortir sur le faîte de la crête. J’entrevois une pente bien soutenue sur des pierriers instables (sans oublier que je suis handicapé par un sac à dos qui ne contient pas seulement le pique-nique de la journée. Si seulement !!!). Il me vient alors une autre idée, à bien examiner la carte IGN. N’aurais-je pas plus intérêt à rejoindre l’itinéraire qui grimpe sur le Mourre Froid (par le versant Sud), en suivant peu ou prou le profil du tracé en ski rando depuis la cabane du Tissap (en coupant par le vallon supérieur du Tissap directement depuis le Col de Reyssas). Resterait à prendre en enfilade toute les crêtes pour aller aboutir au Col des Tourettes. Je ne suis pas un ‟voltigeur” hors-pair, dans les parcours aériens. Aussi, pouvez-vous me confirmer que les crêtes ne présentent pas de passages techniques (du type contournement d’un ressaut) ou de portions instables à négocier avec prudence. J’ai conscience que cette alternative est plus longue mais si, au final, j’ai moins d’efforts à fournir, alors tant mieux. Du Col de Reyssas, j’entrevois que pour aller chercher le sentier qui passe non loin de la cabane de la Dent, il y’a pas mal à redescendre.
Je vous submerge avec toutes mes questions. Encore une fois, toute ma reconnaissance pour votre attention. Recevez toute ma sympathie. Si je parviens à monter mon projet et le voir s’accomplir, vous aurez été d’une belle contribution. Je pourrai vous rendre des échos à ce moment.
Daniel Theissot. De la Haute-Loire aux Hautes-Alpes, il n’y a que quelques marches qui nous séparent (dans tous les sens du terme).
Bravo pour vos balades et surtout pour vos photos de paysages.
Pourriez-vous me dire quel logiciel d’assemblage de photos vous utilisez?
Bonne fin d’été dans les montagnes
Respectueusement
Jacques Chalopin
Monsieur,
je viens de consulter vos photos sur vos dernières randos au Pic de Bure et sur les crêtes de Barses et je tiens à vous féliciter de leur qualité et du soin que vous apportez aussi aux comptes-rendus que vous joignez à vos articles. Pouvez-vous me dire avec quel type d’appareil photo vous faites vos images?
Je me demande si vous appartenez à un groupe de randonneurs et si vous faites accompagnateur en montagne.
Je vous remercie d’avance de vos réponses et je vous assure de ma considération respectueuse.
Jacques Chalopin GAP
En réponse à vos questions : J’utilise un reflex Nikon 24/36 équipé essentiellement d’un objectif 24-120. De temps en temps j’emporte un 70-300, mais le changement d’objectif n’est pas très facile à gérer, surtout dans l’urgence du passage d’un animal, par exemple. L’idéale est de pouvoir emporter 2 appareils mais attention à l’encombrement et au poids, sans compter sur l’investissement financier que cela représente. Comme je le dis dans la page de présentation il y a toujours un choix à faire en fonction de la randonnée à effectuer et des objectifs photographiques que l’on aimerait réaliser. Mes photos sont faites en RAW et retraitées légèrement à la maison en balance des blanc, exposition, contraste et saturation éventuellement. Les panoramiques sont réalisés par assemblage de plusieurs photos, développées en Jpeg dans Autopano. Je n’exerce pas actuellement en tant qu’accompagnateur en montagne et je randonne essentiellement avec des amis. Il m’arrive de randonner quelques fois avec le CAF d’Embrun.
le sentier qui descend du col de val haute vers le vallon de clauzis est mal balisé et mal défini . j’ai fait une boucle en montant par le vallon du cros jusqu’au col situé entre la tete de vautisse et la crete de rougnous , puis montée à la crete de rougnous et descente le long de la crête vers le col de val haute où je n’étais jamais encore allé , pour revenir à la croix du lauzet . cette descente de val haute est facile mais erratique .
le vallon du cros mérite le détour : magnifique , et alpin dans sa derniere partie – des glaciers fossiles , des chamois ; la barre rocheuse presente un passage pres d’un goulet , sur la droite en montant , mais les dalles sont friables et en dévers ; au pied du goulet , traverser vers la gauche en montant . cette rando en boucle est magnifique , mais s’adresse à des randonneurs experimentés dans la barre rocheuse
magnifiques photos qui donnent bien un aperçu de l’ambiance.tu es bien le seul à nommer cette rando « sous les crêtes » tous les autres parlent « des crêtes » ce qui totalement faux car je n’ai vu personne au sommet des ces dites crêtes.
bravo, continues à nous envoyer tes photos qui font rêver ,car rien en dit que nous te suivrons sur ces sentiers alpins…
Je me permets de m’adresser à vous, même si cette sortie commence à dater.
J’ai également fait cette sortie à VTT en octobre 2011, mais un peu plus tard que vous (que de monde dans le secteur ;))
J’ai comme idée de le faire cette année à pieds, en passant cette fois-ci par Peyre Eyraute.
Je ne pense pas qu’il y a souci pour la montée par l’arête E de ce sommet, par contre je doute de la descente sur l’arête plein S de celui-ci.
N’étant pas allé à l’Aiguille des Pénitents la dernière fois, je vous demande donc si vous avez plus d’infos.
(Je me rappelle avoir vu de loin une vague sente au Col de l’Alpavin… mais sans plus d’infos).
Salut
Bravo pour le photographe les photos sont superbe ,
je l’est fais 3 fois cette rando mais sans appareil photos dommage !!
mais depuis j’ai toujours un appareil dans la poche et je fais beaucoup de photos dans mes nombreuses randonnées ,
je vais je pense la refaire une 4e fois
Tres belle virée.
Je suis venu plusieurs fois et reviendrai cet été mais jamais fait la ligne des cretes entiere..
Tu es venu depuis le Pic de Charance,Vieille ?
Pas trop sportif?
Pas de problème si l’on tire bien vers la droite après les bergeries à la cote 2141 m et ensuite revenir traverser le torrent de charges bien à gauche.
Salut
très belle rando pour l’avoir faite 3fois
j’aime sa partie minérale ,
mais mon départ s’est fais a partir de la piste qui mène a l’Abbaye , bien avant celle ci , en prenant a gauche un tout petit bout de piste très raide passant devant 2 vielles maison jusque a une vieille cabane pas très loin , la on s’arréte et on cherche dans l’herbe le départ d’un sentier qui rejoint plus loin le gr venant de l’Abbaye
je n’est jamais vu personne en partant de la !
je pense que ferais cette rando une 4°fois
A+
merci pour les précisions trés utiles
j’ai donc traversé à niveau la brèche pour rejoindre le couloir
rando sublime
PS : « Col du Barle » autant pour moi et mes excuses pour ce doublon !…
Bonjour Pascal,
je suis heureux de voir que tu as toujours ta forme olympique, bravo !
Ce commentaire juste pour te signaler, sauf erreur de ma part une coquille sur cette légende :
« Le Barle, La descente peut se faire en traversant à la base des rochers, pour rejoindre la crête descendant au col de la Coupa. »
je suis sûr que tu as voulu écrire « Col de Barle » ! non ?
Bonne continuation, amitiés.
Alain
Merci Alain, c’est corrigé.
Merci pour l’idée de la boucle ! les vues sur la crête sont magnifiques …
J’ai agrémenté avec la pointe de Reyna que je n’avais pas encore gravie.
Bonjour
Rando faite le 11/09/23 . Superbe ! Les 2 vallons sont magiques et sauvages, comme je les aime … La vue au sommet juste superbe. et croisé …personne ! Grace à cette trace, pas besoin ( je pense) de faire la rando classique des Lacs du Marinet par le vallon de Mary .. Merci beaucoup pour vos très belles propositions qui m’inspirent beaucoup ! !
Une rando exceptionnelle ! Surement la plus palpitante du Champsaur, ou l’on croise tous les terrains de jeu (hors sentier, vire, petite escalade, crete) et des paysages à couper le souffle (arche, cirque).
Merci pour cette itinéraire !
En préparant ma sortie au Grès du Queyrel, j’ai découvert votre blog. Je ne fréquente pas les « Réseaux Sociaux ». La montagne n’est pas un stade ou une salle de gym où l’on vient transpirer pour réaliser un exploit qui permettra de se faire valoir. Votre topo témoigne de votre pratique de la montagne. En ayant intégré les outils d’aujourd’hui, il reste dans le partage et le faire savoir. Ne changez rien. Résistez.
Bonjour Pascal, avec un ami nous avons parcouru cette belle crête récemment en poussant jusqu’à la Pointe de Rasis et en partant du Sommet Bucher. Merci pour l’idée et les explications !
Je publie régulièrement des topos sur Altituderando et je compte en faire un sur notre sortie. Je tenais à vous informer et je vous mettrai bien sûr aux crédits.
Bravo en tous cas pour ce blog et pour les superbes photos !
Merci pour vos photos et textes sur le tour des Combins. Très utile pour nos préparatifs.
Pouvez-vous partager le contenu de votre sac à dos sur vos randonnées?
Merci
Bonjour,
Pensez-vous que cet itinéraire est faisable en raquettes ou tout au moins jusqu’à la Montagnette?
Merci d’avance et belles randos.
Stéphanie
Bel article, je l’ai partagé avec mes amis.
Merci pour ce beau reportage! ..j’ai fait cette « ascension » en 1979, mais n’en avais rapporté que quelques photos, perdues au milieu d’une boîte à souvenirs.. Voici d’un seul coup ces vieux souvenirs bien remontés à la surface!
Bonjour, superbe randonnée et explications claires !
Savez vous cependant si la bergerie de Chillol permet de s’y refugier en cas d’orage ?
Nous comptons bivouaquer pas loin mais je préfere toujours avoir un coin de « secours » 🙂
merci
L’abri de Chillol situé vers 2200 m d’altitude peut effectivement servir d’abri en cas d’orage, il n’y a rien à l’intérieur, ce n’est qu’un abri en pierre.
La cabane de berger situé vers 2460 m d’altitude est normalement utilisé par le berger en été, elle devrait restée ouverte le reste de l’année, mais je ne pourrais vous le garantir. Peut être vous pouvez essayer de vous renseigner auprès de St-Paul-sur-Ubaye ?
Merci pour ces précisions, cela me sera utile et encore bravo pour votre site
Bonjour, merci pour ce topo qui donne envie. Juste une question: dans le bastion sommital, il faut rejoindre une faille assez exposée parait il: Quand pensez vous?
Merci pour tous vos topos qui sont très bien décrits et très proche de la réalité du terrain (notamment le sommet d’assan,le pic nord de la font sancte et le pic de panestrel).
A partir du pied du grand couloir qui monte à la Font Sancte Nord on bifurque à droite vers le Sud en empruntant une sente assez bien marquée jusqu’au col coté 3078 m. A partir de ce col on suit une sente coté Ouest, en léger contre bas de la crête, qui nous amène jusqu’à une brèche bien marquée à l’Ouest du sommet. C’est là que les difficultés commencent. Derrière cette brèche on trouve un couloir assez raide en mauvais rocher. soit il faut descendre avec prudence une vingtaines de mètres pour rejoindre le fond du couloir que l’on remonte dans un terrain croulant presque jusqu’en haut, pour ensuite emprunter une légère vire ascendante vers la gauche. (soit traverser à niveau depuis la brèche dans les rochers pour rejoindre ensuite le fond du couloir plus haut – attention cela peut être glissant, délité et exposé même si l’escalade y est facile).
On rejoint après la vire ascendante à gauche un terrain plus facile qui nous permet d’atteindre le bastion sommital que l’on gravit sur la gauche pour atteindre le sommet. (petits pas d’escalade II+ en dalle).
Casque conseillé, éventuellement un bout de corde de randonnée, mais attention pas beaucoup de bon point d’ancrage pour un assurage efficace.
La partie finale après la brèche est à faire avec prudence et demande un pied sur.
En espérant que ces précisions puissent vous être utiles.
merci pour ce descriptif qui m’a donné envie de partir sur ces deux sommets
Très bonne description du parcours et les photos, en plus d’être belles, sont utiles pour la randonnée
Encore merci
Bonjour,
J’ai eu quelques soucis à partir du point 2089. Impossible de trouver un passage ou un semblant de sente ; j’ai dû faite demi tour.
Pourriez vous me donner quelques informations. Je n’ai pas trouvé non plus la sente dessinée sur la carte et qui se point sous 2089 gagne le point 2263.
Sincères salutations.
Xavier
Le mot sente désigne un sentier peu marqué qui peut effectivement être difficile à trouver surtout à une époque où la végétation est haute. De plus le temps peut atténuer le tracé si celui ci n’est pas très parcouru. Désolé que vous n’ayez pas trouver cette sente qui existait bien quand nous avions effectué cette itinéraire en 2016. Peut être la retrouverez vous tôt le printemps ou vers la fin de l’automne une prochaine fois.
Merci pour toutes ces informations, voici ma vidéo sur cette ascension : https://youtu.be/50hj_46P834
Je me suis permis de mettre en description le lien de votre site et de vos explications 😉
Cordialement
Merci pour votre réponse. Oui je comprends ce que vous voulez dire à propos de ces cairns insolites que je n’ai d’ailleurs pas vus. Autrement dit, vous m’apprenez que c’est la municipalité qui a permis à celui-ci de faire ou de montrer ses « créations » non loin d’un site naturel? Sauf le respect pour le travail de ce monsieur qu’il ne m’appartient pas de juger. Encore bravo pour votre site.
Bonjour,
Vos photos sont très belles, comme le coin que je fréquente assidûment et que je connais bien. C’est une région sauvage, belle justement pour ça et pour le sentiment de liberté et de solitude qu’on peut y éprouver. Hélas, depuis un certain temps je découvre de désagréables surprises. Passe encore le col de Longet jonché de cairns qui par temps de brouillard , ressemble à un sinistre cimetière; on commence à voir de ci, de là, les stigmates de personnes qui ont besoin de marquer un territoire. On trouve ainsi des sculptures tribales parfois en haut de certains sommets, des graffitis à la bombe le long des rochers de certains GR, des gens stupides qui avec des pierres forment au sol leur prénom. Ouais, super ! Alors vous nous parlez de cairns particuliers et cela semble vous enthousiasmer et bien permettez-moi de vous dire que si vous aimez ce coin et que sa beauté vous a ému, c’est justement parce que l’impact humain y est très réduit. Faire la promotion de ce genre de « Land art » c’est comme cela qu’on appelle ce genre de choses n’est ce pas? Et bien ce n’est pas rendre service à la montagne. J’espère que vous comprendrez mon point de vue. Bonnes balades.
Je pense que vous confondez la description des cairns insolites dans la vallée du Cristillan le long de la route, avec ceux de votre description que je ne cautionne pas. La municipalité et l’artiste auteur de ceux que je décris apprécieront certainement votre commentaire.
Une autre alternative pour monter au Vieux-Chaillol c’est de partir de la vallée de Champoléon. Laisser la voiture au village des Borels et monter en direction du chalet des Tourrons puis en direction du col de Côte Longue où on rejoint le sentier de ceux qui arrivent du col de la Pisse et qui sont partie de la station de St Michel de Chaillol. Cette montée est un peu plus longue, mais plus sauvage et moins fréquentée.
Merci pour ce descriptif bien sympa.
bonjour Pacou
j’ai bien aimer lire votre parcourt en boucle du pic de rochelaire,tête de vautisse
aujourdhui j’ai fait une boucle depuis le vallon du couleau et je me posait la question si il y avait un passage à pied du vallon du couleau puis de poursuivre derrière le pic de rochelaire
Je n’oserai pas passer comme vous sur les crêtes entre le pic de rochelaire à la tête de vautisse cela doit être vertigineux la montée pour rejoindre le col de rochelaire n’est elle pas trop exposée au vide ?
bien cordialement
suite : pour varier les plaisirs au retour vers Moussière , revenir en arrière vers la cabane ste Marie , mais couper à D sous le sommet 2601 ,pour rejoindre le sentier du col de moussière et rejoindre le parking de Moussière , à la bifurcation avec la route du lac du Lauzet
bonjour
nous avons fait avant-hier , le 9/10/21 , une variante de cette rando des crêtes de crousas ; venant de Moussière , nous sommes montés à l’aplomb du collet qui juxte le sommet 2601 – croix des crousas , puis nous avons traversés vers le sommet central par la crête et rejoints le col des terres jaunes . mais au lieu de prendre la vire pour accéder au sommet 2645 , nous avons remontés le goulet adjacent à cette vire , et débouchés en haut D sur la pente herbeuse qui conduit au sommet ; il y a un passage d’escalade finale D à la fin de goulet – II sup , III …Mais il est beaucoup moins exposé que cette vire ; retour par même passage final , mais redescente par la dorsale sous le sommet central ; exceptionnelle rando dont la traversée entre le sommet 2601 et le sommet central nécessite des pas d’escalade I à II
Salutations
Bonjour, combien de temps faut-il pour atteindre le pic de caramantran en passant par le col de saint veran depuis Saint veran ?
Et du pic au col de Chamoussière ?
Merci davance
Un immense MERCI, pour cette source d’inspiration intarissable. Et par ailleurs, les photos sont juste sublimes. Continuez ainsi, marchez dans vos « pas » est toujours source d’émerveillements.
Merci pour cette belle rando très aérienne. J’ai adoré sauf la traversé du pierrier sous soleil boeuf très exposé au chutes de pierre!
Très belles photos qui m’ont décidé à faire le Pic St André.
Merci !!
Merci beaucoup pour ce topo, il donne juste les informations essentielles pour réussir le parcours. Comme vous l’indiquez, il faut bien rester sur la crête en descendant vers le col de Reyna (et ne pas s’aventurer dans l’éboulis).
Grand merci pour ce partage d’informations qui nous a permis de découvrir une telle randonnée hors des sentiers battus ! Circuit version 1 testé en ce mois d’août, itinéraire varié et magnifique, avec le plaisir rare (un peu égoïste) d’avoir deux lacs d’altitude pour nous seuls. Etonnant tout de même qu’aucun sentier d’accès n’ait été tracé, notamment dans le Vallon du Lauzet (où le terrain est plus facile que dans celui de la Casse de Rabaret)…
Bonjour,
auriez-vous la gentillesse de me faire parvenir la trace gpx de la promenade au-dessus de St.Sauveur (05)
Vous remerciant par avance.
Bonnes randonnées.
Merci pour tout ! Petit détail pour la partie voiture pour les non locaux , chemin faisant 10km en laissant les ribes sur non carrossé , entre k2 et k6 le chemin est plutôt accidenté et prévoir de rouler au pas …mais ne pas craquer car ce temps gagné en voiture est précieux ensuite ..(+ 3h AR de marche d approche) .
Super merci je cherchai à savoir si c’est fréquentable !
Impressionnant de voir qu’a coté du GR54 super frequenté il y a ce genre de sommet sans quasi topo !
j’ai fait cette rando samedi avec l’ascension de la crete et du pic !
trop belle !
beaux paysages, plein de fleurs dont des edelweiss
un grand merci pour l’idée !
Bonjour Pacou, j envisage de faire cette rando j ai vu que l on peut récupérer le tracé gpx il y a un petit détail que je veux vous demander sur le tracé gpx nous n arrivons pas au point de départ, où nous aurons laissé la voiture, est ce que cela représente bcp de km ?
Merci
Si on peut on ira faire le pic Queyrel
Merci
Effectivement très belles photos, et merci pour les informations concernant cette rando que j’ai pu réalisée cette année. J’ai trouvé pas facile quand même.
Bonjour,
Je suis monté il y a quelques jours à la Condamine par les cols de la Tracoulette et de Vallouise, mais n’ai pas pu faire la boucle par la Crête de Coste Groselière car il y avait encore trop de neige sur ce versant.
Pourriez-vous, je vous prie, me faire parvenir le fichier gpx pour cette Rando que je compte bien faire prochainement.
Merci d’avance.
Cordialement.
André
Vous avez le tracé sur la carte qui est joint à l’article sur cette randonnée, mais désolé je n’ai pas le fichier gpx.
Bonjour
Merci beaucoup pour vos photos et vos explications claires et concises.
Concernant le pic Jocelme, l’avez vous fait encordé ou pas ? je pose la question par rapport aux crevasses car vous mentionnez que le corde peut être nécessaire…
D’avance merci
Le glacier de Surette et de Jocelme sont très peu crevassés, maintenant cela reste des glaciers et suivant les conditions une corde sera effectivement utile. Sans même parler des crevasses la pente au-dessus du glacier de Surette peut être un peu délicate à passer si les conditions de neige ne sont pas bonnes.
Randonnée faite le 31 mars 2021. Panorama à 360° somptueux au sommet et randonnée suffisamment bien décrite dans le topo. Nous n’avons rencontré aucune difficulté particulière dans l’itinéraire hormis une coupe de bois et quelques troncs à enjamber quand on pénètre dans le bois au-delà du grand pré.
Au départ du col de Pontis, nous avons mis une heure pour arriver tranquillement au sommet, nous avons ensuite longé la crête comme décrit, et enchaîné avec le Morgonnet soit une petite heure de plus. Retour ensuite au col de Pontis en suivant l’itinéraire avec vue sur la vallée de l’Ubaye toujours aussi magnifique.
Merci infiniment à PACOU pour nous avoir permis de découvrir cette très belle randonnée, nous y retournons et nous ferons un plaisir d’y emmener des amis.
Bonjour, cet itinéraire présente t il des difficultés pour une personne sujette au vertige. Merci par avance
Il faudrait vraiment être sujet au vertige. Non, a part le Pic Cascavelier qui peut s’éviter, il n’y a pas vraiment de passages vertigineux.
https://youtu.be/T0hfgUTwNMI
Voici une vidéo de la rando qui peut servir à identifier et visualiser l’itinéraire.
Jolie randonnée !!
magnifique …. enchantant +
Bonjour il ne manquait que les bouquetins souvent présent dans le coin
Salut Pascal,
Félicitations pour cet article et surtout tes photos sur notre intéressante virée sur cet emblématique duo qu’est le couple Montagnette – Lausa Plana, sur lesquelles tu n’as pas hésité à me mettre en scène dans le rôle titre, Merci !…
Si tu me le permets, pour que les fans de ton excellent blog n’aient pas de désagréable surprise, j’apporterai les deux petites précisions suivantes :
1 – la cote 2434 m est attribuée au sommet du Jasset, tandis que l’accès direct à sa Baisse 2392 m est un peu plus délicat et bien moins agréable que notre trace.
2 – le commentaire suivant en forme de recommandation :
“Arrivé dans la combe suspendue sous la montagnette (2608 – 2494 m) le plus simple sera de rejoindre à droite le grand éboulis sous le Pouzenc pour ensuite descendre vers le chemin de ceinture.”
me contrarie quelque peu et me laisse à penser que tu n’as jamais dû passer par là en été (Nord – Montagnette – Lausa Plana .jpg) , certes nous y sommes passés ensemble à 2 reprises, mais c’était en crampons ! et pour autant que je me souvienne, arrivés au Chemin de Ceinture en compagnie de Patrice le jour de notre traversée Nord-Sud du Pouzenc, vous n’aviez guère apprécié la descente de cet infâme pierrier. Alors, si certes il s’agit d’un itinéraire moins exposé que la voie directe recommandée par Bernard RANC dans son dernier ouvrage sur les plus belles randonnées de l’Ubaye et ses environs (ce qui au passage prouve qu’il n’a jamais mis les pieds sur son arête Sud-Ouest qui est pour moi la VN royale en A/R de la Montagnette) qui si elle peut être assez impressionnante à la descente, est de très loin l’accès le plus cool en A/R au balcon Nord qui à lui seul mérite une visite complète, car il est d’usage de considérer que les randonneurs qui se lancent dans une telle aventure sont aptes à affronter pareille pente (entre 30 et 45° au plus raide et sur peu de dénivelé).
Amitiés
Alain
https://drive.google.com/file/d/1Uvb0kURtAg1Cqnkp9b5YJCA7FQynKQBr/view?usp=sharing
Merci Alain pour ton commentaire et il m’a amené à modifier quelque peu mon article pour être effectivement plus précis. J’ai d’ailleurs rajouté ton lien sur la photo descriptive au bas de cet article. Si tu regardes bien il y a même une phrase reprise de toi dans la description de la descente sous Lausa Plana pour rejoindre le grand couloir sous le Pouzenc.
Je réagis néanmoins sur ta capacité à penser et à dire que telle ou telle personne puisse avoir mis les pieds ou pas à tel endroit. Je respecte ton avis sur l’itinéraire de descente préconisé par Bernard RANC. Il me parait cependant important de signaler qu’un itinéraire moins exposé existe depuis la combe suspendue pour rejoindre le chemin de ceinture. Alors certes le pierrier n’est pas très agréable à descendre, mais techniquement c’est plus facile et je le sais pour y être passé trois fois dont deux fois, c’est vrai, en crampons avec toi à une époque où il y avait de la neige.
Bonjour ,
Un GRAND MERCI pour vos parcours détaillés qui m’ont donné de cette sortie
Jour 1 GRANDE EPERVIERE https://photos.app.goo.gl/JiZAmefd5zAavEUS6
Jour 2 GRAND PARPAILLON https://photos.app.goo.gl/HkNaYDT55A8yKZQeA
@+
Bonjour,
J’ai essayé de rejoindre le col des orres depuis le col de la pare, hier, je n’ai pas réussi à descendre la grande epervière, c’était un peu risqué. J’ai fais demi tour. Je reviendrai, c’est de toute beauté. Cdt
Salut Pascal,
Félicitations pour cette belle randonnée très alpine et tes toujours très belles photos.
Dans l’attente de la prochaine ?
Amitiés
Alain
Bonjour
très belles photos et très belle randonnée
Bonjour,
Merci pour ce topo d’une randonnée de toute beauté, offrant des paysages variés de toute beauté, hors des sentiers battus et accessible à des randonneurs moyens.
Son exposition, son altitude moyenne et son dénivelé raisonnable en font une rando de début de saison idéale (d’autant que les alpages sont déserts, ce qui permet de voir les chamois nombreux sous la croix de Ratier).
Trois précisions à votre topo précis et exhaustif :
– 26 mai 2020 : Attention aux travaux de mise en place de la conduite forcée qui mène à la future centrale hydroélectrique située au dessus des Guions : la route menant aux Grangettes est fermée à la circulation en semaine, à partir du lieudit « ravin de Ruinas » (alt. 1470) : il faut donc faire le reste à pied jusqu’au départ de la randonnée;
– à partir de la cabane des Moulières, privilégier la trace indiquée dans le topo (orientation nord ouest au départ), plutôt que d’attaquer la montée directement au dessus de la cabane : à cet endroit la forêt est dense et les genévriers nombreux sur le premier tiers de la montée. Attention aux écorchures…
– « L’ascension » du pic de Grand Vallon peut sembler a priori ardue, lorsqu’on arrive au pied du pic. En réalité, elle se fait aisément malgré la pente : les appuis son bons et les cheminements possibles nombreux.
Un grand merci pour ces belles photos. Je suis montée une fois au Col de Combat que m’a fait découvrir mon compagnon.
À Paris, confinée seule, c’est un moment beau et de l’air qui circule grâce à vos photos.
Merci Pacou
trop jolie ce cheval en bois pour récompense 😀
Bonjour Pacou
J ai fait une reco hier afin d emmener un petit groupe
J aurai voulu savoir si l on pouvait éviter la desescalade du point 2671 vers le col de Chanteperdrix en passant par dessous côté ouest en venant de la crête de l’Arpion,car blocage a ce niveau afin de rejoindre la tête de Chanteperdrix.
Merci de ta réponse
Domenico
Bonjour,
De mémoire je pense que cela est possible mais il faudra descendre d’au moins 100 m de dénivelé, soit versant Ouest le long de la crête menant au Col de Trempa-Latz, soit versant Est. Les pentes après pour remonter au Col de Chante-Perdrix et ensuite sur la crête Sud Ouest de la Tête de Chante-Perdrix sont assez raides.
Bonjour,
Quel kilométrage représente la parcours s’il vous plais ? Savez vous s’il y à des refuges ou cabanes à proximité ?
Environ 15 km. Je ne connais pas de refuge à proximité, il y a bien une cabane à l’extrémité Ouest du Ruban à Clot Clavary mais je ne sais pas si elle est utilisable.
Salut Pascal,
et MERCI pour l’honneur que tu me fais dans ta page d’accueil, tous ceux qui me connaissent savent depuis longtemps qu’outre l’immense plaisir d’évoluer à ma guise en toute liberté en montagne, ma principale passion réside dans la recherche de l’itinéraire qui me plaît le plus, si possible en suivant les crêtes, puisque c’est bien là que j’ai le meilleur point de vue et que je suis le plus à l’aise. Ensuite, de nature altruiste, je n’ai pas d’autre motivation que partager mes trouvailles avec d’autres, qui n’ont pas forcément le temps de chercher ou bien qui n’auraient même pas eu l’idée d’aller voir par là. Si avec Hélène, tout comme toi dans ton blog, nous dépensons autant d’énergie et de temps pour ensuite en garder un souvenir et bien au-delà, c’est surtout et avant tout pour permettre à d’autres de parcourir ces itinéraires que nous aimons tant, chacun étant bien évidemment libre de les adapter à sa convenance en restant bien conscient qu’il sera toujours le seul responsable d’où il aura mis les pieds.
Amitiés
Alain
Superbes photos , je fais cette rando dimanche par votre tracè , merci
Bonjour, auriez vous la trace gpx à me communiquer? je compte faire cette rando debut Aout. Cordialement. Bernard
Je n’ai pas de fichier gpx, mais il y a le tracé sur la carte ign que vous pouvez consulter en cliquant sur la carte.
Salut Pascal,
Bravo et merci pour cet excellent article sur cette fabuleuse randonnée sur les crêtes de « Côte » ou « Coste » Belle. Maintenant que nous savons que parcourir l’intégralité de la Crête de Coste Belle tel que nous l’avons fait ne pose pas le moindre problème aux randonneurs rodés à ce type d’exercice, je suggère à tous les fans de ton blog que ça intéressera de faire cette randonnée en sens inverse pour les raisons suivantes :
– c’est à mon sens la manière la plus esthétique,
les parties les plus raides sont toujours plus faciles à monter qu’à descendre tant qu’il ne s’agit pas d’un pierrier bien évidemment,
– ainsi on monte à l’ombre et on n’a jamais le soleil dans les yeux, situation assez gênante sur la crête Ouest du Pic Est qui ne facilite pas la progression et contrarie les croqueurs d’images,
– idem pour la vue sur la très spectaculaire Crête des Oules, ainsi que la face Est du Pic de Rochebrune.
Amitiés.
Alain
Bonjour,
Vous faîtes vraiment de très belles photos et de très belles randos un peu alpines, j’adore. Bravo! Je m’inspire de vos sorties, j’adore la rando. Merci!
J’apprécie vos randos et conseils mais surtout vos photos !
Bravo
Bonjour ,
votre randonnée est assez inspirante et bien décrite avec de belles photos. Juste un petit détail quand vous écrivez « contourner par la droite ce sommet en descendant d’une cinquantaine de mètres et de traverser à niveau », 50m est-ce en distance ou en dénivelée ?
Merci, Franz
Sur le fil de la crête il y a un ressaut rocheux que l’on contourne par le droite sur 50 m de distance.
Bonjour est ce que les chemins en balcons sont suffisamment large pour une personne qui a le vertige…marcher près de la paroi aisaiment? D avance merci cette rando à l air superbe.. Catherine FAVRE
Bonjour J’ai lu votre topo du Pic de Crigne ; belle rando à faire ce que je vais réalisé . J’avais un doute pour la trace SUD côté L’ UBAC là ou vous êtes passés . Pouvez vous me dire si votre trace est celle d’un GPS car sur mon logiciel je ne vois pas de sentier. Si cela ne vous dérange pas.
Merci d’avance
Cordialement Roux André
Salut Pascal et bravo pour cet excellent reportage auquel je me permets d’ajouter la petite précision suivante, susceptible de faciliter la répétition de cette randonnée par les fans de ton blog.
En fait, dans la remontée par le Bois du Chapitre, entre la cote 1450 m et la cote 1509 m où le sentier du bas, pas mieux entretenu que celui du haut se rejoignent, il convient de rester encore plus attentif pour ne pas le perdre. Si malgré tout on le perd, lorsqu’on arrive sur la crête en rive gauche de la Combe de Lavanche, entre les cotes 1500 et 1520 m, il suffit de la remonter (c’est bien moins pentu à droite, qu’à gauche!!!) sur quelques m pour retrouver le bon sentier qui, dès lors, se suit très facilement, il est même très confortable dans sa traversée de la Combe de Lavanche, juste quelque peu herbeux à cause de sa très faible fréquentation.
Alain
Magnifiques photos comme d’habitude.
J’ai fais cette randonnée en hiver avec des conditions idéales.
Très joli coin
Salut et merci pour tes récits de randonnée, tes photos sont super belles bravo . Tu as quoi comme matos ? car je fais également de la randonnée et cherche un équipement autre que mon gros reflex 🙂
Je décris mon matériel photo dans la rubrique présentation et conseils. Appareil reflex donc effectivement lourd et zoom polyvalent 24-120 à f4. Quelques fois je prend un 70-200 si je pense pouvoir apercevoir des animaux.
Les panoramiques sont fait par assemblage de plusieurs photos dans Autopano. Le changement d’optique n’étant pas évidente à faire rapidement si l’on veut pouvoir mettre un téléobjectif et prendre rapidement une photo de loin, le mieux est d’avoir 2 appareils mais la il faut de la place dans le sac et il faut porter.
Endroit magnifique ! Les photos m’ont donné envie d’y aller. Justement demain.
Bel avant gout ! Merci
Salut Pascal et merci pour ce très bel article sur la prestigieuse Montagne d’Aujour, les fans de ton blog seront peut être intéressés de savoir qu’un circuit plus court mais tout aussi sportif est praticable en versant Sud à partir de Villelongue. Il consiste à rejoindre le GR 94 par le sentier balisé qui remonte la Crête de toutes Aures, de quitter le GR 94 quand il sort de la limite Est de la Forêt Domaniale d’Aujour, pour remonter au mieux le long de cette limite (Nord-Est) jusque sous la falaise qu’il suffit alors de longer vers l’Est jusqu’ à la Faille, où on retrouve l’itinéraire décrit, et le suivre jusqu’au Pas de la Posterle qui se descend assez facilement rive droite moyennant une courte désescalade de quelques m en bon rocher (II maxi). Pour ensuite dévaler en ligne directe une pente boisée très raide au début mais pas aussi broussailleuse que ça (« seuls les sangliers passent par là ! » commentaire de Pascal Sombardier relayé par Bernard Mazas à qui j’avais demandé des renseignements sur la faisabilité de cet itinéraire que nous avons testé à 4 en novembre 2012, (groupe paritaire) ; plus bas, on rejoint une piste forestière qui revient sur Villelongue. A parcourir de préférence en automne avant que le versant Nord de la crête ne soit trop glissant, attention au risque de verglas et en période sèche afin que le Pas de la Posterle ne soit pas « une cascade ! ».
De plus, pour les non-initiés de l’itinéraire décrit, je conseille vivement les 2 mini-variantes
suivantes :
1 – après être sorti de la forêt, au-dessus du Lac de Peyssier, quitter le sentier balisé pour accéder à la première croupe herbeuse qui prolonge la falaise de droite ; la suivre en A/R vers le Nord-Est, elle devient rocheuse en s’effilant, offrant un passage très ludique, une belle vue plongeante sur le lac et vers l’Ouest, une belle perspective sur la ceinture rocheuse de la Montagne d’Aujour.
2 – revenu sur le sentier balisé, à l’arrivée sur la deuxième croupe herbeuse, s’écarter à nouveau du balisage sur la droite ; passé la bosse, on découvre un vaste plan en pente douce apparemment sans intérêt, pourtant il suffit de descendre de quelques m pour arriver sur un entrelacs de failles pouvant dépasser les 10 m de profondeur et rarement plus d’1 m de large, facilement franchissables jusqu’à la falaise terminale d’où l’on découvre un cirque rocheux particulièrement pittoresque, dont il me semble dommage de se priver, on se croirait au-dessus de la zone d’effondrement des séracs d’un glacier.
Bien bien joli Pascal. J’en profite pour te remercier pour les infos et topos que l’on trouve sur ton site et qui me donnent souvent des idées.
Très beau topo ,très belle photos d’un parcours que je connais et que j’aime beaucoup.
Il y a une curiosité juste sous le sommet 2836 c’est une grande faille étroite d’une dizaine de mètres et profonde d’environ 5-6 mètres.
Bravo Pascal, pour cet article et sa très belle illustration photographique, je me permets d’apporter une petite information complémentaire à ta précision : « Contourner par la droite, une tour rocheuse de forme carrée au milieu, » car si je suis bien passé comme toi à la montée, à la descente, j’ai testé l’autre côté et j’ai trouvé que c’était certes légèrement plus exposé, mais techniquement tout aussi facile, voire même plus facile ! Après, c’est à chacun de choisir ce qui lui paraîtra le plus aisé !…
Alain
Bravo pour ce beau reportage, les photos sont superbes.
Fait sans aucune importance, mais que je ne comprends pas bien : j’ai posté mon commentaire à 10 h 36 min et il est noter à 8 h 36 min, ton blog serait-il synchrone avec le soleil ?!…
Pour avoir, en plus de 30 ans, parcouru plusieurs fois ce fabuleux itinéraire, je confirme que son accès s’est considérablement amélioré au cours du temps, au point de pouvoir le classer parmi les bons sentiers de montagne, certes toujours sur une pente raide sous la Pointe des Marcelettes, mais toujours facile et sans danger. Probablement dû à son classement parmi « Les plus belles randonnées du Queyras de Richard WACONGNE, paru en 2000, au Éditions Glénat », par rapport à la diffusion plus ancienne et plus confidentielle de son prédécesseur : « 50 sommets sans corde dans les Hautes-Alpes de Pierre MAES, paru en 1998, Diffusion OPHRYS ». A ce sujet, il est à noter la divergence entre les 2 topos sur la localisation géographique du Sommet Jacquette et de la Pointe des Marcelettes . Pour moi, la Pointe des Marcelettes est bien le sommet le plus à l’Est avec ses 2909 m et Sommet Jacquette à l’Ouest, 2900 m, où se trouve la borne géodésique !…
J’ajoute au commentaire d’Hélène, que depuis la Haute Sagne, une sente, certes moins marquée, se poursuit dans le creux du vallon, passe au micro-lac et à la dépression coté 2601m et permet de rejoindre facilement le Col des Pisses, d’où l’accès au sommet de la Pointe des Pisses n’est qu’une simple formalité, puis la traversée du sommet de Prelles, ne présente qu’un petit passage rocheux, assez aérien où il convient de prendre quelques précautions dans la descente avant de rejoindre le Col de Prelles où on retrouve un relatif bon sentier pour redescendre jusqu’au Col du Cheval de Bois. Ce qui certes augmente sérieusement le niveau de cette randonnée, mais qui cependant reste facilement accessible aux randonneurs alpins, récemment baptisés d’experts pour plagier les Italiens ! Annie, dite la Marmotte, l’a bien réalisée en 2002 (en seulement 9 h, hors-tout, soit sieste comprise!), c’est dire !…
Quel dommage de s’être privé du classique circuit du Lac de Prelles, très beau miroir du Sirac, avec ses tritons alpestres; la montée en bordure du Torrent de Prelles se faisant sur une excellente sente équivalente à un bon sentier permet d’observer, au-dessus de la cascade, de beaux polis glaciaires parmi lesquels des marmites résultant de l’érosion des moulins glaciaires. Cette variante bien connue n’accroît pas la difficulté de cette randonnée et même en diminue la distance.
Si j’ai bonne mémoire, quand nous sommes arrivés à la petite clairière au niveau du (d) Défens (d)es Vieux, nous avions la vasque qui sert d’abreuvoir pour les vaches (qui, pour moi, est dans le creux du haut du ravin) à notre gauche et c’est à partir de là que nous avons commencé à revenir sur la droite pour rejoindre la crête.
Après être monté, assez facilement, à la Tête de Cassoun par son couloir Nord-Ouest, certes raide mais semi-herbeux ; pour en redescendre et poursuivre par la crête jusqu’à celle de Vallon Claous, lorsque j’ai vu la raideur de sa sortie et l’aspect plus que merdique de son couloir Sud, je me suis empressé de revenir vers le sommet pour emprunter la nervure de sa rive droite en y décrivant un Z ; j’y ai trouvé un rocher, qui m’a paru beaucoup plus sûr et surtout l’exposition y est bien moindre ! Cette variante me paraît être à conseiller, à la descente comme à la montée.
Bravo Pascal pour ce nouvel article et tes toujours belles photos !…
Dans le rôle du pinailleur invétéré, il ne m’a pas semblé que nous ayons traversé et monté rive droite du ravin du Défens des Vieux avant de retrouver le sentier presque horizontal du haut avec ses très vieilles balises jaunes !?…
En regardant plusieurs fois sur mon GPS pour vérifier où on passait, on a dépassé le V des Vieux sur la carte, et après avoir retrouvé le sentier, on a traversé un petit peu direction Nord pour arriver au niveau du é de Défens, où ensuite nous avons remonté la crête.
Essai de message : Belles photos et bonne randonnée aujourd’hui !
A la prochaine, bises.
Hélène
super randonnée
Pourriez vous prendre contact avec moi au 0609871321 car cet été avec mon fils on envisage un tour du champsaur par les crêtes et j’aurais quelques infos a vous demander sur des portions d’itinéraires que vous avez fait.
Cordialement olivier
Tres beau descriptif d’un endroit que je connais bien; je n’avais jamais essayé de monter au pic de maravoise ,j’y retourne cet été je ne le raterais pas
merci
Thierry
P-S J’ai deja escaladé le pic des chalanches (en traversée nord sud depuis le pic de l’aiguiller° ; le pic de roche noire le pic de la rousse (par le col de la rousse ) le pic du cros .le pic beauduis par le couloir nord et par le col des ayes .
Mais je butte sur le pic balard as tu une idée sur son accés le plus simple..
Bonsoir Pacou!
L’escalade du Col de Chorges pour aller aux Parias, est-t-elle difficile ou pas? Ce tour m’intéresse beaucoup et j’aimerais le faire l’été prochain, et c’est le seul endroit de la boucle qui m’inquiète…
Lasseron
Non ce n’est pas très difficile. Il y a 15 m a faire en (II) sur un terrain un peu herbeux un peu rocheux, mais il faut y aller avec précaution. Une corde pour assurer des personnes peu habituées, pourra être utile.
Bravo pour ce blog. Commentaires succins, mais précis, accompagnées de magnifiques photos. Manque peut être de randos un peu moins « bavantes ». De même tracés gpx seraient pas mal.
Bonjour
j’aimerais gravir ce sommet au mois d’ octobre ; sauriez-vous si il y a toujours la main courante au niveau du passage escarpé ? (si vous y êtes retourné récemment)
merci d’avance
sportivement
Nous avons réalisés cette randonnée l’année dernière au mois d’octobre. Si vous la faite par beau temps et sur terrain sec il n’y a pas de problème pour monter au Palastre, le sentier est bon et le passage escarpé se passe très bien.
Trop cool la photo avec le chamois et la marmotte !!!
La crête à l’air un peu vertigineuse 🙂
La crête finale a l’air sympa !!
C’est joli les Linaigrettes !!! 🙂
Bonjour Pacou,
Mille bravos pour vos clichés ! Etant moi aussi adepte inconditionnel de la photographie en montagne, je me pose une question. Quel procédé mettez-vous en oeuvre pour obtenir de tels panoramas. J’utilise perso un objectif de longueur 10-20 mm sur un reflex APS-C. Je ne crois pas pouvoir obtenir des résultats similaires. Par ailleurs, je tiens à dire que votre rubrique randonnée Embrunnais est pour moi une mine de précieuses suggestions pour ma prochaine sortie en octobre. Je compte suivre un itinéraire depuis Serre-Eyrauds vers le Col de Combeau (avec ascension de la Petite Autane), et me diriger vers les aiguilles de Chabrières. Le coin en automne doit être splendide, vous m’approuvez certainement. Pour m’y rendre, j’hésite entre le Col de la Coupa ou bien le Col de Chorges (pour sa vue dégagée vers les sommets du coté du Parpaillon). Le GR 50 pour ensuite remonter vers Freissinière et la Vallouise est-il sympa? L’avez-vous déjà emprunté? Je connais déjà l’itinéraire direct par Prapic et le Col des Terres Blanches. Je me méfie aussi d’un subit revirement de météo à cette époque de l’année.
Voilà. Merci encore pour votre site que je vais à de nombreuses reprises consulter.
Bonnes escapades à vous dans ces formidables montagnes.
Un marcheur de la Haute-Loire, au pays des sucs.
Je ne sais pas quel va être votre hébergement pour l’organisation de vos étapes sur votre randonnée, mais il n’y a pas de problème pour le col Combeau et ensuite le col de Chorges ou de la Coupa (bons sentiers). Je ne trouve pas le GR50 très intéressant et un peu paummatoire (pas si bien balisé que cela) , si vous êtes plutôt montagnard il vaut, peut être, mieux passer plus directement, que de faire tout le tour en longeant la vallée de la Durance. Effectivement en octobre vous pouvez avoir des conditions météo très bonnes ou du froid et de la neige. Mais en règle générale on peut encore bien randonner, même à assez haute altitude à cette période. Pour les photos de paysage je travaille en Raw essentiellement avec un objectif de 24mm et les panoramiques sont réalisés par assemblage de plusieurs photos.
Bonjour,
Merci pour votre attention à mes recherches pour une randonnée dans ce coin du 05. Je considère que, en cette période de l’année, les hébergements sont loin d’être tous ouverts. Aussi, je m’astreints à partir en autonomie et je n’exclue pas des bivouacs avec une tente légère type MSR de 1-1,5 Kg. Bien évidemment, ce type de plans nécessite un portage conséquent (je n’ai pas besoin d’énumérer la liste à emporter – vous connaissez l’épineux problème du poids sur une randonnée de plusieurs jours). Hier au soir, après un tour d’horizon (fameux tour, je dois dire !!!) de vos sorties, j’en arrive à dégager une hypothèse pour rallier Freissinières. Je souhaiterais vous la soumettre à votre expertise (n’ayant pas vos connaissances pointues sur le secteur).
Je disais donc, lors de ma première intervention, que venant probablement par le Col de Chorges, je me dirigerai ensuite vers les Aiguilles de Chabrières. J’imagine alors une traversée qui me conduirait à passer par le Col de Reyssas, pour ensuite viser le Col des Tourettes et celui des Terres Blanches. De là, ne resterait plus qu’à descendre sur Dormillouse (par la grande cabane de Faravel). Quelques questions en vrac me viennent autour de ce projet :
1) Savez-vous si la cabane de Reyssas peut servir d’abri, hors période d’occupation par le berger? Je sais, pour l’avoir expérimenté, que la cabane de la Barre, au dessus du saut du Laire, dispose dans les combles d’un couchage tout ce qu’il y a de sommaire (mais c’est toujours mieux en cas de mauvais temps).
2) Dans votre topo sur le Pic de Pied Brun / Lac Brun, vous mentionnez une variante par Clot Bouffier. Esthétiquement, est-ce une ambiance plus belle? Je pense naturellement photo.
3) Enfin, un problème me taraude l’esprit. Une fois au Col de Reyssas, dois-je m’essayer à joindre le Lac de la Dent et de parcourir la crête de la Dent? Sur une de vos photos, je suis perplexe quant à devoir affronter la pente pour sortir sur le faîte de la crête. J’entrevois une pente bien soutenue sur des pierriers instables (sans oublier que je suis handicapé par un sac à dos qui ne contient pas seulement le pique-nique de la journée. Si seulement !!!). Il me vient alors une autre idée, à bien examiner la carte IGN. N’aurais-je pas plus intérêt à rejoindre l’itinéraire qui grimpe sur le Mourre Froid (par le versant Sud), en suivant peu ou prou le profil du tracé en ski rando depuis la cabane du Tissap (en coupant par le vallon supérieur du Tissap directement depuis le Col de Reyssas). Resterait à prendre en enfilade toute les crêtes pour aller aboutir au Col des Tourettes. Je ne suis pas un ‟voltigeur” hors-pair, dans les parcours aériens. Aussi, pouvez-vous me confirmer que les crêtes ne présentent pas de passages techniques (du type contournement d’un ressaut) ou de portions instables à négocier avec prudence. J’ai conscience que cette alternative est plus longue mais si, au final, j’ai moins d’efforts à fournir, alors tant mieux. Du Col de Reyssas, j’entrevois que pour aller chercher le sentier qui passe non loin de la cabane de la Dent, il y’a pas mal à redescendre.
Je vous submerge avec toutes mes questions. Encore une fois, toute ma reconnaissance pour votre attention. Recevez toute ma sympathie. Si je parviens à monter mon projet et le voir s’accomplir, vous aurez été d’une belle contribution. Je pourrai vous rendre des échos à ce moment.
Daniel Theissot. De la Haute-Loire aux Hautes-Alpes, il n’y a que quelques marches qui nous séparent (dans tous les sens du terme).
Je vous ai fait une réponse par mail
Bravo pour vos balades et surtout pour vos photos de paysages.
Pourriez-vous me dire quel logiciel d’assemblage de photos vous utilisez?
Bonne fin d’été dans les montagnes
Respectueusement
Jacques Chalopin
Merci, j’utilise Autopano.
Fait en 2013, c’est un très beau tour!!
Super ton site !!!! et de supers photos
De belles randos en perspectives….
ça à l’air beau mais vertigineux !
C’est très beau et pas très difficile, même toi tu devrais y arriver sans peur.
Monsieur,
je viens de consulter vos photos sur vos dernières randos au Pic de Bure et sur les crêtes de Barses et je tiens à vous féliciter de leur qualité et du soin que vous apportez aussi aux comptes-rendus que vous joignez à vos articles. Pouvez-vous me dire avec quel type d’appareil photo vous faites vos images?
Je me demande si vous appartenez à un groupe de randonneurs et si vous faites accompagnateur en montagne.
Je vous remercie d’avance de vos réponses et je vous assure de ma considération respectueuse.
Jacques Chalopin GAP
En réponse à vos questions : J’utilise un reflex Nikon 24/36 équipé essentiellement d’un objectif 24-120. De temps en temps j’emporte un 70-300, mais le changement d’objectif n’est pas très facile à gérer, surtout dans l’urgence du passage d’un animal, par exemple. L’idéale est de pouvoir emporter 2 appareils mais attention à l’encombrement et au poids, sans compter sur l’investissement financier que cela représente. Comme je le dis dans la page de présentation il y a toujours un choix à faire en fonction de la randonnée à effectuer et des objectifs photographiques que l’on aimerait réaliser. Mes photos sont faites en RAW et retraitées légèrement à la maison en balance des blanc, exposition, contraste et saturation éventuellement. Les panoramiques sont réalisés par assemblage de plusieurs photos, développées en Jpeg dans Autopano. Je n’exerce pas actuellement en tant qu’accompagnateur en montagne et je randonne essentiellement avec des amis. Il m’arrive de randonner quelques fois avec le CAF d’Embrun.
superbes photos de la grotte
Vous avez mis combien de temps pour effectuer cette randonnée ?
Il faut compter entre 5 et 6 heures de marche, le parcours sur la route forestière avec la voiture est un peu long.
le sentier qui descend du col de val haute vers le vallon de clauzis est mal balisé et mal défini . j’ai fait une boucle en montant par le vallon du cros jusqu’au col situé entre la tete de vautisse et la crete de rougnous , puis montée à la crete de rougnous et descente le long de la crête vers le col de val haute où je n’étais jamais encore allé , pour revenir à la croix du lauzet . cette descente de val haute est facile mais erratique .
le vallon du cros mérite le détour : magnifique , et alpin dans sa derniere partie – des glaciers fossiles , des chamois ; la barre rocheuse presente un passage pres d’un goulet , sur la droite en montant , mais les dalles sont friables et en dévers ; au pied du goulet , traverser vers la gauche en montant . cette rando en boucle est magnifique , mais s’adresse à des randonneurs experimentés dans la barre rocheuse
Bonjour,
c’est une super rando assez sauvage !! très jolie.
je recommande !!
sylvain
magnifiques photos qui donnent bien un aperçu de l’ambiance.tu es bien le seul à nommer cette rando « sous les crêtes » tous les autres parlent « des crêtes » ce qui totalement faux car je n’ai vu personne au sommet des ces dites crêtes.
bravo, continues à nous envoyer tes photos qui font rêver ,car rien en dit que nous te suivrons sur ces sentiers alpins…
ha ha ! trop cool les fleurs dans les chaussures 🙂
Toujours aussi magnifiques tes photos…
Bonjour,
Je me permets de m’adresser à vous, même si cette sortie commence à dater.
J’ai également fait cette sortie à VTT en octobre 2011, mais un peu plus tard que vous (que de monde dans le secteur ;))
J’ai comme idée de le faire cette année à pieds, en passant cette fois-ci par Peyre Eyraute.
Je ne pense pas qu’il y a souci pour la montée par l’arête E de ce sommet, par contre je doute de la descente sur l’arête plein S de celui-ci.
N’étant pas allé à l’Aiguille des Pénitents la dernière fois, je vous demande donc si vous avez plus d’infos.
(Je me rappelle avoir vu de loin une vague sente au Col de l’Alpavin… mais sans plus d’infos).
Bien cordialement,
Salut
Bravo pour le photographe les photos sont superbe ,
je l’est fais 3 fois cette rando mais sans appareil photos dommage !!
mais depuis j’ai toujours un appareil dans la poche et je fais beaucoup de photos dans mes nombreuses randonnées ,
je vais je pense la refaire une 4e fois
un peu haut pour moi, mais Eric aurait bien aimé être des votre pour cette sortie
Superbe, il est 8h du mat et je viens de me faire une ballade au dessus de Gap
Tres belle virée.
Je suis venu plusieurs fois et reviendrai cet été mais jamais fait la ligne des cretes entiere..
Tu es venu depuis le Pic de Charance,Vieille ?
Pas trop sportif?
Bonne continuation
Tres belle balade !
pas trop sportive, la desccente vers le Charges?
Bonne continuation.
Pas de problème si l’on tire bien vers la droite après les bergeries à la cote 2141 m et ensuite revenir traverser le torrent de charges bien à gauche.
Salut
très belle rando pour l’avoir faite 3fois
j’aime sa partie minérale ,
mais mon départ s’est fais a partir de la piste qui mène a l’Abbaye , bien avant celle ci , en prenant a gauche un tout petit bout de piste très raide passant devant 2 vielles maison jusque a une vieille cabane pas très loin , la on s’arréte et on cherche dans l’herbe le départ d’un sentier qui rejoint plus loin le gr venant de l’Abbaye
je n’est jamais vu personne en partant de la !
je pense que ferais cette rando une 4°fois
A+
Super beau mon Pacou, mais fait moi penser à te dire de ne pas m’emmener la haut car avec mon vertige cela risque de ne faire rire personne 🙂
randonnée a faire avec eric, mais pour moi on oublie 🙂
Trop chou le ptit oiseau (avec les baies rouges en fond) !!!
Merci Pascal de partager avec nous tes photos qui sont toujours aussi MAGNIFIQUES !
Brigitte
SUPER. La montagne est trés belle mais il y a pas !!! voir des animaux, petits ou gros , c’est MAGNIFIQUE. Encore merci pacou pour se partage
Pfff !!! merci encore pour ce partage de ta passion pacou
🙂
photos toujours aussi magnifiques
Super jolie la photo des Edelweiss !!!
il y a dans une de tes photos ves Morgon, je crois où une cabane ressemble à ta maison à oiseaux! Bisous
Re Magniffique!!! je sais je me répète mais on ne trouve que ce mot !
Magnifique